Au fil des ans

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Comment es-tu devenu brocanteur ?Dès mon jeune âge, j’avais la passion du bricolage. Je suis un adepte du système “D”. Tout a commencé avec un vieux frigidaire qui appartenait à ma grand-mère. Je l’ai récupéré, retapé, repeint et rendu fonctionnel. Puis ce fut une machine à coudre Singer, que j’ai réparée et vendue… Depuis, j’en ai fait mon gagne-pain.

Quels sont les articles que tu revends ?Je fais un peu de tout. J’ai des armoires, des buffets, des chaises, des tables, de l’argenterie des frigos, des horloges, des pendules… J’ai même un vieux piano.

Quelle est ta marge bénéficiaire ?Certes, j’achète à bas prix, puisque je fais dans la récupération des objets encombrants, mais tout dépend des objets et de leur valeur. Une belle affaire est surtout dans la rareté et la beauté de l’objets.

Quelle est ta plus belle affaires ?Un petit salon style Louis XIV ou XV ur zrilgh ara. C’est une merveille. Il y a eu aussi une belle argenterie. Une merveille, ça mérite une place au musée.

La brocanterie en Algérie ?Un domaine à explorer non par les parasites, mais par des professionnels.

Un bon brocanteur ?Du flair, du savoir et beaucoup de culture.

Un meuble ?Une bibliothèque.

Un bois ?Le hêtre et le chêne.

Un outil ?Le Rabot.

Une collection ?des bibelots.

Un objet artisanal ?Tacvaylit

Un programme TV ?“C’est pas sorcier” diffusée sur FR 3

Un artiste ?Tous les sculpteurs sur bois.

Une ville ?Miliana.

Une citation ?“Rien ne se perd, tout se transforme.”

Tanemirt aya brocanteurTanemirt s tsuda a Tayeb

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