La jonction des deux trémies du chef-lieu de wilaya en étude

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Le projet de jonction des deux trémies du chef-lieu de la wilaya de Tizi-Ouzou est inscrit en étude. C’est ce qu’a souligné le directeur local des Travaux publics, Madjid Aït Kaci, qui précise que l’opération a été confiée au bureau d’étude ETAG. C’est le Premier ministre Abdelmalek Sellal, lors de sa visite de travail dans la wilaya de Tizi-Ouzou, en juillet dernier, qui avait annoncé l’inscription, au titre de l’exercice 2014, d’un projet de jonction des deux trémies du chef-lieu de wilaya. Le ministre avait, pour rappel, réclamé des autorités locales de prévoir cette jonction des deux trémies par un long tunnel, de façon à aérer la ville des Genêts et son axe principal. Le projet a été confié pour étude depuis quelque mois déjà. C’est ce qu’à tenu à préciser le directeur des travaux public local, Madjid Aït Kaci. « Le projet a été confié pour étude, il y a deux mois à peu prés. C’est le bureau d’étude ETAG de Tizi-Ouzou qui a en été chargé» dira-t-il, soulignant que « le maître de l’ouvrage et l’entité chargée de superviser le projet est l’APC de Tizi-Ouzou. Mais, il n’en demeure pas loin que la DTP suit de près ce projet ». Jusqu’à présent, aucune enveloppe budgétaire n’est avancée par l’Etat. Cela interviendra avec présentation de l’étude définitive de sa réalisation. Les deux trémies en question, réalisées sur l’avenue Abane Ramdane et que quelques 200 mètres sépare, ont été critiquées, à plusieurs reprises, pour être à l’origine de l’étouffement du chef-lieu. L’avenue Abane Ramdane, communément appelée « Grande rue », est, en effet, devenue difficile à y circuler, notamment pour les piétons qui se disputent des trottoirs réduits. Ce qui oblige, parfois, les citoyens d’emprunter les ruelles parallèles pour pouvoir presser le pas et éviter de devoir faire les coudes pour circuler. Le Premier ministre avait demandé aux autorités locales d’engager une étude de réhabilitation de cette « Grande rue », soulignant que cela devrait se faire au cours de l’exercice 2014. 

             

T. Ch.

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