«Sincèrement, je ne trouve pas de mots. C’est inimaginable. J’ai appris la triste nouvelle alors que nous étions de retour d’Oran en compagnie des joueurs du NAHD. Nous étions tous sous le choc. C’est vraiment trop, nos stades sont devenus des arènes de la mort, que l’on gagne ou l’on perd, joueurs et entraîneurs risquent toujours de se faire passer à tabac. La violence dans nos stades a dépassé les bornes, il faut agir sans attendre. C’est une grande perte pour la famille footballistique. Albert Ebossé que j’ai connu la saison passée à la JSK était un jouer exemplaire qui embrassait, à plein dents, sa carrière de footballeur ».
A M’hena