En date du 20 décembre 2005, votre correspondant et sous un titre à l’énoncé racoleur s’est fendu d’un long article chargé de contreverités, de jugements trop hâtifs et de condamnations sans appel.Cette entorrse aux règles élémentaires de la déontologie m’impose de vous répondre es-qualité et non en mon nom personnel puisque j’ai été cité es-qualité. J’habite depuis l’indépendance un bien vacant acquis par ma mère lors de la vente des biens de l’Etat. Ce bien se résume à une vieille bâtisse coloniale du début du siècle passé, sans possibilité d’extension latérale ou horizontale et nous sommes 40 âmes à y cohabiter dans une promiscuité que je vous laisse le soin de deviner.Le séisme du 21 mai ayant ébranlé encore plus cette vieille bâtisse, le CTC l’a classé orange 4 et un ordre de réhabilitation me fut donné, ordre qui a été exécuté par une entreprise et sous la responsabilité d’un promoteur… Si infraction il y’eut, elle ne peut en aucun cas m’être imputée car je suis plus victime que coupable.Quant à l’empiètement sur le “domaine public” c’est une antienne trop récurrente pour être innocente.
