“On est prêts pour le RCA”

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Le gardien de la JSMB évoque dans cet entretien l’entame du championnat de Ligue 2 qui verra son équipe recevoir, ce vendredi, le RC Arbaa au stade de Béjaïa.

La Dépêche de Kabylie : Pouvez-vous revenir sur la dernière victoire en amicalface à la JSD Jijel ?

S. Kacem : Oui, on se devait bien de nous racheter après notre défaite contre l’USOA, histoire de nous remettre en confiance en prévision de notre premier match de championnat qui interviendra ce week-end. Cela dit, en plus du résultat technique face à la JSDJ qui était en notre faveur, je crois que l’équipe avait bien tourné. Et c’est tant mieux pour nous, en attendant de confirmer contre le RCA ce vendredi.

Justement, êtes-vous prêts pour ce premier match contre le RCA que vous recevrez ce vendredi ?

Je crois qu’aucune équipe ne peut prétendre être prête à 100% de ses capacités réelles. Et pour cela, je crois qu’il faudra attendre la 6e journée pour pouvoir atteindre le rythme souhaité. Nous concernant, étant donné qu’on jouera devant nos supporters, on n’a donc pas le droit de se louper chez nous et seule la victoire face au RCA nous stimulera pour la suite. Et puis, le fait de réaliser une bonne préparation d’intersaison, ajouter à cela le désir de tous les joueurs de réussir une excellente entame de championnat chez nous, je reste persuadé qu’on parviendra à relever le défi ce vendredi pour signer notre premier succès de la saison.

Un mot pour conclure ?

Que nos supporters qui attendent beaucoup de leur équipe cette saison, viennent nombreux au stade ce week-end pour nous soutenir, car le challenge de l’accession est l’affaire de tous et cela exige beaucoup de sacrifices durant notre parcours en championnat pour pouvoir réaliser cet objectif en fin de saison. Ceci dit, avec les renforts de qualité effectués à l’intersaison par la direction du club et les moyens mis à notre disposition, je crois que tous les ingrédients sont réunis pour faire revenir la JSMB parmi l’élite dès le mois de mai prochain.

Propos recueillis par B. Ouari

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