Voulant organiser leur université d’automne, du 5 au 8 octobre, au niveau de la station balnéaire de Souk El Ténine, les responsables de la ligue des droits de l’homme ont reçu une fin de non-recevoir du chef de daïra de la localité. Déçu et étonné par ce refus, le bureau national a rendu publique une déclaration dans laquelle il dénonce une «mesure arbitraire». Malgré cela, la ligue déclare maintenir cette activité et vouloir user de toutes les voies pour défendre ses droits. Elle appelle par ailleurs ses militants, ses invités, les organisations de la société civile, les députés et toutes les forces politiques à se mobiliser pour défendre les acquis et les espaces démocratiques arrachés de hautes luttes.
A Gana.