L'ancienne ville a besoin d’aménagement

Partager

L’ancienne ville de l’ex-Maillot, située sur les hauteurs du chef-lieu communal de M’Chedallah, offre malheureusement une vue désolante avec un manque flagrant en matière d’aménagement urbain. En effet, les trottoirs existant sont dégradés et ont besoin d’un véritable réaménagement pour permettre aux piétons d’y circuler sans difficultés. Il a été constaté au niveau de cette agglomération des trottoirs en mauvais état avec des carrelages qui sont détachés en se transformant en véritables pièges pour les passants, notamment durant la période pluvieuse. «J’ai manqué à plusieurs reprises de tomber sur mon nez à cause de ces pièces de carrelage détachées des trottoirs. Elles sont devenues un danger réel pour les piétons, surtout à la tombée de la pluie où lorsque le piéton met le pied sur un carrelage décollé, l’eau de la pluie gicle sur ses vêtements en manquant de tomber. Dans d’autres lieux, il n’y a plus de carrelages. La boue et les mares d’eau tapissent certains trottoirs complètement dégradés», constate amèrement un habitant de cette agglomération. Autre point qui suscite l’inquiétude des passants concerne les carrés devant recevoir les arbres d’alignement qui sont vides. Par conséquent, ils se remplissent d’eau et de boue ce qui les transforme en pièges dangereux pour les piétons, pouvant se faire très mal s’ils tombaient dedans. «Ces trous devant recevoir les arbres d’embellissement sont laissés, béants, sans aucun aménagement sur les trottoirs ! J’aurai aimé qu’ils soient remblayés pour éviter aux passants des accidents graves. L’ancienne ville de M’Chedallah a besoin d’un vrai plan d’aménagement pour sa modernisation. Les carrelages des trottoirs sont complètement usés et ne répondent plus aux exigences de l’heure. Ils sont glissants et se détachent ici et là», affirme un autre habitant. Par ailleurs, les ruelles de l’ancienne ville de M’Chedallah ne sont pas non plus placées en bonne enseigne pour la simple raison qu’elles sont pleines de trous, de crevasses et de cratères où s’accumulent les eaux des pluies.

Y. S.

Partager