Mise au point

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Suite à votre article paru dans votre édition n°1278 en date du 15/08/2006 intitulé “Trop beau pour durer ou le mauvais œil ?” et signé par Omar Soualah, et en vertu du droit de réponse, nous, élus à l’APC de Saharidj, vous demandons de bien vouloir insérer cette présente mise au point à la même page et endroit de parution de votre article. Ainsi, nous tenons à souligner que votre correspondant avait biaisé l’information, car agissant en violation flagrante des règles de déontologie, mais surtout du principe d’objectivité censé accompagner en permanence le devoir d’informer dû à vos lecteurs. Votre correspondant s’est donc permis un commentaire au moment où il n’avait qu’à apporter fidèlement l’information.En guise de rectificatif, nous tenons à vous informer que nous avons remis à votre correspondant une copie d’un rapport que nous avons adressé à monsieur le wali de Bouira avec des copies remises au P/APW, le DAL, le chef de daïra de M’chedallah ainsi que le P/APC de Saharidj en date du 07/08/2006.Dans ce rapport, nous avons dénoncé un ensemble d’anomalies dans la gestion des affaires de la commune, chose dénoncée par ailleurs par des citoyens ayant adressé leur requête à tous les responsables concernés. On cite entre autres : – Le non-respect des procédures administratives notamment en ce qui concerne l’attribution de décisions provisoires pour constructions illicites ;- L’utilisation des moyens matériels de la commune à des fins personnelles (les fourgons de transport scolaire qui sont tout le temps en promenade) ;- Délivrance d’ODS avant l’attribution définitive des marchés par la commission des marchés ;- Collecte de fonds auprès des entreprises de la région sans bons de souscription ;- Organisation d’une cérémonie en l’honneur des lauréats des différents examens sans la soumettre à la délibération de l’APC en dépit du fait que l’enveloppe réservée à cet effet dépasse les 500 000 DA.Autre précision, votre correspondant écrit ceci : “Trois élus de cette assemblée ont énuméré une série d’anomalies décelées dans la gestion du P/APC et de ses adjoints du RND”, ce qui est totalement faux car, à aucun moment, nous n’avons cité les adjoints et la responsabilité de ce désordre au niveau de l’APC est bel et bien le fruit de la gestion anachronique dirigé par l’actuel P/APC.

M. Habet BoubakeurM. Ouarab AhcèneM. Abbas Belaid

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