l La rue reliant la mosquée du centre-vile de Seddouk à la cité Berkani est dans un état de dégradation avancée. La scarification de la chaussée par les services communaux pour la réparation des conduites d’AEP, suivie d’une remise en l’état mal faite comme le souligne un habitant, inquiète sérieusement les résidants qui craignent que l’arrivée de pluies diluviennes fréquentes à cette période (lekhrif) transformeront cette chaussée en bourbier au niveau des “quatre chemins” de l’ex-cantine communale — ce qui aggraverait l’état de dangerosité du chemin menant vers cette cité lequel présente un relief accidenté, c’est-à-dire une descente de près de 10%. Ce problème figure parmi les préoccupations des citoyens qui ne savent plus à quelle Autorité se vouer pour que les réparations y afférentes en bitume se fassent dans les meilleurs délais possibles. “Cette route, vu son piteux état, doit figurer parmi les préoccupations majeures de la municipalité”, s’insurge ce citoyen qui ne décolère pas. Du côté de la municipalité, le président de l’APC, nous apprend que les travaux de remise en l’état des chaussées défoncées lors des travaux de gaz seront lancés cette semaine. “Le gérant de l’entreprise qui a effectué les travaux du gaz de ville vient de sortir de mon bureau. On a convenu d’un commun accord que toutes les voies d’accès détériorées par cette opération seront remise en l’état. Il lancera le chantier, sauf imprévu de dernière minute cette semaine”, précisera l’édile municipal.
L. Beddar