l Contraints de rejoindre l’autre côté de la route nationale pour une destination vers Aomar, assurée par les fourgons Tata de Bouira, les habitants de Kalous affrontent, la peur au ventre, cette traversée suicide dans l’espoir d’inviter les chauffeurs à marquer un arrêt.
Le danger menace aussi les conducteurs trop aventureux. En déchargeant les voyageurs de Kalous, les transporteurs pressés de repartir vers Aomar, effectuent sur place un retour à la kamikaze, violant le code de la route et exposant au danger les véhicules venant en sens inverse.
Une passerelle permettra aux habitants d’accéder de l’autre côté sans courir aucun risque, un espace de manœuvre qui servira au chauffeur d’effectuer un retour sans inquiétude est inévitable.
A. Chérif