l Le déséquilibre entre l’offre et la demande dans certains produits alimentaires a éveillé l’intérêt de certains chômeurs à prendre en charge le vide repéré et de répondre aux exigences de la localité. Ainsi, à Aomar-Barrière, on a remarqué l’apparition de 3 points de vente de fruits et légumes, aménagés à l’aide de roseaux, lesquels, comparés aux magasins activant légalement, tolèrent aux acheteurs de discuter les prix affichés.D’autres ont investi dans les gâteaux traditionnels, assurant aux cafés maures et aux alimentations générales, la galette maison, le pain dur fourré de dattes et les crêpes préparées à l’oignon et tomate. Vers le bas, en bordure de la route nationale, une succession de tables à vitrines bien achalandées en tabac à chiquer, en cigarettes de toutes marques et en bonbons et cacahuètes. Le commerce illégal est présent dans la localité, mais que font les autorités pour préserver les commerçants qui s’acquittent de leurs impôts ?
A. C.
