Apparemment rien ne nous indique un quelconque changement dans les cités universitaires, et ce malgré les assurances répétées par le ministère concerné, à savoir le MESRS.
Dans une déclaration rendue publique hier l’Union générale des Etudiants algériens, section filles de Ben-Aknoun, a tenu à alerter l’opinion publique sur leur quotidien désastreux. Tout en condamnant « le comportement du directeur de la cité pour son intransigeance, à défaut de son indisposition à dialoguer », les étudiantes constatent « l’insécurité qui règne au sein de la cité, la dégradation de la qualité des repas et les difficultés de se nourrir le soir vu la lenteur de la queue, les dépassements de certain responsables, le manque effarent d’eau … ».
Le même triste scenario qui revient à chaque fois en attendant le changement.
Yacine Mohellebi
