Echaâbia euphorique

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l Stade de Bouira-Temps froid. Peu de spectateurs

Arbitres : Oukil-Touil-Gouguèche

Avertissements : Ladlaoui 23’ – Abdelaziz 25’ – Mézine 41’ (MCB) Mernache 31’ (JSIO)

Buts : Saïdi 14’ (sp), Tellal 53’ et Serridj 87 (MCB)/Hadjara 80’ (JSIO)

MCB : Maâche-Mezine-Ferrah A (Serridj)- Ladlaoui-Saïdi-Zerki (Aoudia) Abdelaziz

Dendaoui (Ferrah L)-Tellal- Khodari-Allache. Entr : Ali Tellal

JSIO : Kaïdi-Larabi K-Larabi A- Mernache-Hadjara-Haddad (Haddadi)- Benméziane-Ziani Abdelfattah-Rezki-Madi (Hamiti puis Dendane). Ent : Younsi

Le Mouloudia chaâbia de Bouira, malgré l’insipidité de la rencontre, n’est pas allé avec le dos de la cuillère pour battre son homologue bougiote la Jeunesse d’Ighil Ouazzoug. Le score éloquent de trois buts à un en est une preuve tangible.

Moins d’une quart d’heure de jeu, les Bouiris ont réussi à ouvrir la marque après un excellent travail de Zekri qui a obligé un défenseur d’Ighil Ouassough à commettre la faute qui a conduit à un penalty indiscutable. Tir au but qu’exécute magistralement le vétéran Rachid Saïdi (14’). De retour des vestiaires, et à peine une dizaine de minutes plus tard, les camarades de Zekri doubleront la mise suite à un travail collectif. Ladlaoui sur le flanc gauche sert Zekri qui remet immédiatement sur Arezki Ferrah. Celui-ci également sans attendre, remet à Tellal qui ne se fait pas prier pour marquer assez facilement (53’). Les visiteurs, touchés dans leur amour-propre, tenteront quelques essais, notamment par Abdelfettah, qui voit son tir croisé passer à ras de terre à quelques centimètres du poteau droit de Maâche (59’) et Dendane qui, des 20 mètres tire mais le ballon percute la barre transversale (75’). Les Bougiotes réussiront à réduire la marque après un centre bien botté par Ziani sur Hadjara qui met, de la tête, le ballon au fond des filets (80’). Les visiteurs se feront ensuite piéger à cause de leur précipitation. En effet, on joue la 87’ lorsque sur une erreur de la défense, Serridj rentré en cours de jeu, se retrouve seul devant le gardien Kaïdi qu’il trompe facilement.

A. Chebla

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