Un projet d’utilité publique baptisé « Blanche Algérie » vient d’être attribué à la commune pour un montant de 70 millions de centimes. Ses objectifs sont multiples à plus d’un titre. En premier lieu, on se propose d’intéresser des employeurs potentiels qui voudraient s’investir pour créer leurs propres microentreprises. Une telle politique se veut un moyen d’inciter à la création d’entreprises capables de générer des richesses. C’est dire donc qu’elle est pourvoyeuse d’emplois directs et indirects. La preuve la microentreprise « pilote » qui vient de voir le jour à Boudjellil et qui permettra de lancer la première expérience en la matière est la parfaite illustration.
Elle se compose de 7 ouvriers qui sont appelés à travailler avec leur chef moyennant des contrats de travail d’une durée de 3 mois mais pouvant être renouvelés. Selon un élu de l’APC, la manne d’embauche qui se présente permettra à 7 chômeurs de pouvoir toucher des mois durant un salaire mensuel de 12 à 13 000 dinars et au détenteur du projet de tirer à son tour profit.
Quant à la besogne de cette petite entreprise, elle se situe dans divers domaines.
On retiendra entre autres diverses tâches d’entretien liées à l’environnement, le nettoyage des accotements des routes locales, le démantèlement des décharges sauvages, l’entretien des cimetières et des places publiques, voies de drainage des eaux pluviales etc.…
Z.F.
