La pépinière de DBK se qualifie en finale aux dépens du CAF par TAB (5-4)

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l Les garçonnets de Rabah Tahir et Kamel Belhocine, les éducateurs des benjamins au sein de la pépinière de l’USM Draâ Ben Khedda, se sont qualifiés vendredi au stade du 1er-Novembre de Tizi Ouzou face au CA Fréha par des tirs au but (5-4) après avoir fait un match nul (0-0) durant le temps réglementaire.

Les deux équipes ont fourni un très beau match durant lequel des individualités se sont fait remarquer, tels Chadli et Smail, un attaquant et un défenseur de l’USMDBK, qui ont démontré tout leur savoir-faire avec leurs camarades, ainsi que de bons joueurs au sein du CA Fréha, qui ont offert un très beau spectacle.

La pépinière de Draâ Ben Khedda retrouvera mardi prochain en finale l’équipe d’Abi Youcef, un coriace groupe, qui s’est lui aussi qualifié dans cette coupe de wilaya.

Antar Boufatis

Les footballeuses de Blida à Larbaâ Nath Irathen

l Sur invitation de la municipalité, l’équipe de football féminine de la ville des Roses a été l’hôte de Larbaâ Nath Irathen. Cette équipe est pionnière dans ce sport au niveau national et a remporté la première coupe de football féminin en 1988.

M. Senouci, entraîneur de l’équipe et l’un de ses créateurs, dit : “Nous sommes très touchés par l’accueil chaleureux qui nous a été réservé ici. Les joueuses sont heureuses d’avoir l’occasion de visiter cette région et de disputer un match avec l’équipe locale”.

L’équipe féminine de Larbaâ Nath Irathen est drivée par MM Boualem Maddour et Youcef Bouzouane. Sur le terrain, le match n’a rien à envier au football masculin, avec le charme en plus. Et les joueuses des deux équipes se dépensaient sans compter.

Les visiteuses montraient néanmoins de meilleures capacités, notamment dans le compartiment de l’attaque où elles furent particulièrement dangereuses.

Et c’est en toute logique qu’elle gagnèrent ce match par 5 buts à 1. Il est à déplorer que les filles du foot n’aient droit àaucune considération en dépit de ces avancées certaines.

M. Senouci affirme que “le football féminin a besoin de moyens logistiques et d’infrastructures. Ce stade, à Larbaâ Nath Irathen, est par exemple indigne de cette région. C’est la première fois que nos filles jouent dans un tel terrain”. Il se plaint aussi du fait que les matchs féminins ne suscitent pas encore un grand engouement du public.

Il ajoute cependant que “les mentalités sont en perpétuelle évolution, et ce sport est quand même en train de rentrer dans les mœurs”.

Amarouche M.

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