Après un dur labeur, une année passée parallèlement face à toutes sortes de questions, de réflexions, de perspectives et de clairvoyance de l’avenir » quel avenir ? » où se mélangent échos positifs et négatifs, des rumeurs par-ci des humeurs par-là, après une attente infernale passée sans trop de dégâts attendant juste les jours inévitables, l’attente de la phase du combat, trois jours d’affrontements où tout remonte à la surface, les capacités dans telle et telle matière, les faiblesses, et les lacunes dans d’autres, tous cela ajoutés évidemment au truc, au trac, ce trac fatidique, qui au cours de l’année se transforme en matière et faisant partie du programme harcelant bon ou mauvais élève fort ou faible et quand tout cela est passé, voilà la phase la plus inquiétante, la plus insupportable, la plus angoissante, mais surtout effrayante, les résultats !!
Ces résultas qui enfoncent le candidat dans tous ses états, retenant son souffle accéléré depuis quelques jours, quelques mois.
Distinguer le nom affiché ou pas sur la monstrueuse liste, ce simple et important bout de feuille blanche qui redonne la vie et qui est la destinée, et dans le cas contraire qui détruit momentanément, mais ce qui compte avec ou sans bac la vie continue.
F. Metref