L’heure est à la vigilance

Partager

l Les maladies à transmission hydrique s’enregistrent beaucoup plus en été, que lors des autres saisons. Dues aux dépôts d’ordures ou à la présence de charognes près des nappes, ou encore aux infiltrations des eaux usées dans les conduites d’eaux potables.

Le risque diminue en hiver, période des pluies, qui emportent sur leur passage toutes les immondices se trouvant sur le lit des rivières.

A Aomar, l’heure donc est à la vigilance, “le meilleur moyen d’éviter ces maladies reste le contrôle permanent de l’eau des réservoirs”, prévient l’infirmier du centre de santé de Aomar. L’eau pompée des oueds et acheminée vers les châteaux d’eau pourrait être source de maladies. C’est pour cela, ajoutera le fonctionnaire de la santé, que “les laborantins de l’ADE prélèvent 2 à 3 échantillons d’eau du réservoir de Aomar”.

A. Chérif

Partager