Lors du même forum organisé par la Dépêche de Kabylie, nous avons posé deux questions à M. Rebrab et celles-ci portent sur le développement du sport (ou le sponsoring, c’est selon) dans la région et le problème de succession à la JSK à chaque fois qu’il y a «feu en la demeure» et où son nom est évoqué dans les milieux proches de ce club.Sans hésitation aucune et comme pour couper court et une bonne fois pour toutes quant à sa probable venue dans ce club-phare de la région, le patron du groupe Cevital a tenu d’abord à répondre à notre deuxième question : «Il est vrai que j’aime beaucoup la JSK mais je ne pourrais en aucun cas postuler un jour présider à la destinée de ce club. d’abord, je n’ai ni le temps, ni les compétences nécessaires pour diriger la JSK. Je dois enfin m’occuper de mon groupe qui me prend tout mon temps». Voilà donc une réponse claire comme de l’eau de roche à une question qui taraude en ce moment l’esprit de beaucoup d’inconditionnels des Jaune et Vert.Et à M. Rebrab d’enchaîner pour revenir à notre question : «Oui, j’ai parlé de toutes les potentialités qui existent dans notre région je vous assure qu’on a toujours œuvré à aider les clubs et les sportifs qui nous font appel et cela se fait dans la mesure de nos moyens bien sûr. je citerai entre autres exemples, la JSK, l’USMAL, le MOB, un club de hand de Béjaïa etc…». Je vous ajoute aussi que nous dégageons à chaque début d’année une enveloppe spéciale pour le sport et croyez-moi, ce dernier s’est toujours taillé la part du lion dont tout l’argent destiné à l’aide et au sponsoring. Pour moi c’est un devoir que d’aider toute cette jeunesse de mon pays. Cela lui éviterait peut être de sombrer dans la délinquance et autres maux sociaux».
B. Ouari