l Les figuiers qui auguraient en juin dernier une récolte abondante, n’offrent qu’un triste visage de désolation à présent. Explication : les fruits ornant ces arbres pourtant résistants aux caprices du climat, ont été mis à mal par les chaleurs suffocantes infligées par le sirocco lors de la première quinzaine de juillet. Conséquence : toute la récolte est avortée et aucune primeur n’a jusque-là était cueillie.
Enfin, la figue s’annonce si rare cette année qu’elle culmine déjà sur le marché à 200 DA le kilo. Qu’en sera-t-il pour la figue sèche ?
Z. F.