l Les petits écoliers d’Ath Yavrahim sont contraints de faire plus de dix kilomètres en aller retour à pied pour rejoindre les bancs de l’école et cela depuis 1994 en raison de la fermeture de l’école de ce village pour motif d’insécurité ; cette école a été depuis abandonnée et se retrouve à l’heure actuelle en phase de dégradation très avancée. Une situation et un état de fait qui interpellent les pouvoirs publics ne serait-ce que pour mettre à la disposition de tous ces élèves un moyen de transport, une chose qui peut se faire dès les premiers jours de la rentrée scolaire prochaine, en attendant de trouver une solution définitive à même de mettre fin au calvaire quotidien de ces pauvres enfants.
O. S.
