Soumise au chômage endémique, à la mal-vie et à l’insécurité, la jeunesse algérienne ne voit le bout du tunnel que sur l’autre rive de la Méditerranée. Bravant les risques de la “grande bleue”, dans des embarcations de fortune, des escouades de jeunes vont à la recherche d’un hypothétique avenir. Et voilà que l’affaire prend une tournure éminemment politique.