“Qui n’avance pas, recule”, dit-on. Le club sportif de Ain El Hammam est en perdition. Il y a peu le temps pourtant, grâce, surtout à sa section de handball et le travail de formation qui s’y fait, l’IRBAEH suscitait l’admiration et forçait ses adversaires au respect. Il n’est pas loin le temps où comme le dit M. Ait Ali (professeur de sport et entraîneur) “l’équipe de handball seniors, aspirait à jouer les premiers rôles, en régionale”. Tahar, le DTS ne cesse de parler avec fierté des joueurs de talent qui ont, alors, émergé, à l’image de Karouf Rafik (Paris-Saint-Germain) ou Ferhat Benzekri (JSK). Malheureusement, le club est actuellement tombé dans l’anonymat et ce n’est pas la qualification de Ferhat Ali, au championnat national (marche), un arbre qui cache la forêt, qui va freiner cette descente aux enfers, car au train où vont les choses, la dissolution n’est pas loin. Le vovietnam l’athlétisme et le handball sont les seules sections encore en vie et qui font que le club existe encore. Aucune section n’a d’équipe engagée en seniors. La plupart des sportifs d’ici voient leur “carrière” s’arrêter, en catégorie “cadets”. Malgré tout, l’IRBAEH, grâce à son encadrement, continue toujours à former des jeunes garçons et filles dont les résultats sont encourageants. Des filles comme Djaoudi Kahina ou Ait Abdelmalek Zaza ont étonné les puristes lors de la rencontre de handball MCA-IRBAEH. Pour Ain El Hammam et le mouvement sportif, nous ne devons pas briser l’avenir sportif de ces jeunes qui promettent.
Nacer. B