Incolore, inodore et sans saveur, la drogue du viol a un effet extrêmement dévastateur. Peu connue chez nous, cette substance qui se présente sous forme de poudre, de liquide ou d’ampoule existe depuis quelques années déjà en Europe et en Amérique du Nord.
Appelée aussi GHB (acide gamma hydro byturique), elle agit sur la neurotransmission des zones thalamiques et corticales accélérant la transmission et réduisant l’activité du cortex cérébral, en d’autres termes réduit l’activité consciente (volonté, jugement et raisonnement) laissant libre champ à l’excitation générée par les zones primitives du cerveau (zone des instincts et des réactions).