Dans sa déclaration rendue publique le mardi 25 mars 2008, la Coordination des enseignants contractuels de Béjaïa CECA, qui active sous l’égide de la Snapap a mis en avant tous les facteurs et contraintes qui ont amené ces derniers à mettre en place cette structure, pour essayer d’arracher le minimum de dignité à ces jeunes enseignants qui travaillent dans des conditions lamentables : entre autres, salaires impayés depuis “x” temps, stress du chômage qui les guette tel l’épée de Damoclés, une différence dans le traitement qui leur ait réservé dans tous les domaines par rapport à leurs collègues titulaires, non renouvellement et rupture des contrats sans préavis.
En tout les cas une plate-forme de revendications comprenant douze (12) points a été élaborée par les concernés et une délégation est sur le pied de guerre à Alger, pour tenter de déjouer tous les obstacles qui seront dressés sur leur route, au Palais du gouvernement où les délégués doivent tenter de remettre la plateforme de revendications au Chef du gouvernement.
Arezki Toufouti