L’arabe, l’histoire et l’éducation islamique non concernées

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En effet, lors de son intervention à l’ouverture de la rencontre au siège de l’ONM, M. Abadou a affirmé que les commémorations nationales sont des opportunités pour enseigner à nos élèves l’histoire de leur pays et leur inculquer les valeurs de la génération de la Révolution.

Cependant, selon M. Abadou, il est indispensable de favoriser le rapprochement par l’intensification des contacts, entre les Moudjahidine adhérents à l’organisation et les élèves.

« Le moment est venu pour créer des ateliers de recherche sur l’histoire » et d’ajouter : « Donnons à l’histoire du pays toute l’importance requise, si la bataille des Moudjahidine avait pour objectif la libération du pays, celle des enseignants s’inscrit dans le développement du pays » a-t- confié. Dans le même sillage, M. Abadou a cité le regretté Ferhat Abbas qui avait déclaré que les Moudjahidine combattent pour épargner à leurs enfants la misère.

Pour sa part, le ministre de l’Education nationale n’a pas manqué de souligner l’intérêt qu’apporte son ministère à l’enseignement de l’histoire de l’Algérie, car le volume horaire a doublé et contrairement aux années précédentes, l’histoire est enseignée à partir de la troisième année primaire.

Effectif à partir de la prochaine rentrée scolaire, l’allègement des programmes, comme prévu par le département de M. Benbouzid, ne concernera pas l’enseignement de la langue arabe, l’histoire, la géographie et l’éducation islamique.Le doyen des ministres estime que l’objectif est d’assurer une disponibilité d’un enseignement de qualité pour nos enfants.

Maouchi Yahia

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