Le principe et la décision étant acquis, depuis plus d’une année, il ne restait qu’à trouver une assiette de terrain pour lancer les premières consultations et l’étude nécessaire pour lancer les travaux. Bien que beaucoup de choses aient été dites, concernant le choix du lieu où devait être implanté l’établissement public hospitalier, puisque l’infrastructure dont bénéficieront les habitants de la région devra, dès sa réalisation, avoir un tel statut, les choses ont évolué positivement au cours de cette semaine.
En effet, selon le premier responsable de l’APC, “nous avons effectué un choix de terrain en tenant compte du fait que la nouvelle structure d’accueil, en projet, ne pouvait pas sortir du périmètre urbain. Pour cela, nous nous sommes intéressés à un lieu situé dans la zone d’activité de Ouadhias.” Tout compte fait, selon toujours notre interlocuteur “l’essentiel est dans le fait que les populations des communes de la daïra seront prises en charge d’ici 2 ans, selon nos prévisions, dans les différents services médicaux qu’abritera la nouvelle structure, à savoir, tout ce qui relève de la médecine interne et mieux encore un service de chirurgie.”
Par ailleurs, il faut signaler que l’hôpital accordé sera d’une capacité de 60 lits extensible pour 120 autres lits à l’avenir, conformément à la décision parvenue aux services de la commune des Ouadhias. Enfin, en attendant la concrétisation de ce qui a été annoncé, il faut savoir qu’hormis la polyclinique du chef-lieu, qui continue de prodiguer des soins d’urgence, les évacuations et les hospitalisations se font toujours à l’EPH de Boghni, et pour d’autres cas, au CHU de Tizi Ouzou.
M. H.
