Le chantier engagé depuis près d’un mois au niveau du Pont Sayeh a généré un embouteillage extraordinaire pas seulement aux alentours du chantier en question mais aussi au niveau de l’autre pont enjambant la voie ferrée.
Ce rail, soulignons-le, sépare la ville de Bouira en deux. Et aller d’une partie de la ville à l’autre ne peut être possible aux automobilistes qu’en empruntant l’un des ponts. En attendant la fin des travaux entamés à Sayeh et qui consistent à ouvrir une trémie permettant une meilleure fluidité, l’automobiliste est appelé à s’armer de patience notamment aux heures de pointe où généralement, il lui faut une bonne petite demi-heure pour se mouvoir pour quelques 200 mètres. En plus, les pluies qui s’abattent en cette période hivernale et entraînant avec elle des traînées de boues ne sont pas pour arranger les choses. Prévue dans quelques trois mois, l’ouverture de la trémie à la circulation améliorera sans aucun doute la circulation. Seulement, une meilleure fluidité, nous semble-t-il, sera assurée par la mise en chantier d’un ou de deux autres ponts enjambant les deux parties de la ville.
T. O. A.
