Et le cas de Bouira ?

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Réagissant au communiqué faisant état de la dissolution des Assemblées populaires des communes et des wilayas de Béjaïa et de Tizi Ouzou, après décrets présidentiels, les archs de Bouira estiment, par la voix de la coordination des comités citoyens de la wilaya, que “le protocole signé conjointement entre la délégation mandatée par le mouvement et la chefferie du gouvernement, et même s’il est éclair, n’est pas respecté, puisque le communiqué officiel ne fait pas cas de Bouira”.Plus loin, la CCCWB ne comprend pas pourquoi “la sixième incidence ne concernerait pas, comme c’est souligné dans le protocole d’accord, l’ensemble des régions ayant vécu la dynamique des archs, alors que les cinq autres incidences sont prises en charge”.Si les archs de Bouira disent “assumer pleinement le dialogue avec les représentants du pouvoir, ils estiment en l’occurrence que ces derniers sont tenus de respecter leurs engagements”.

B. B.

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