Profitant de la présence à ce congrès du premier président de cette société, le professeur Abdou Boucekkine en l’occurrence, natif de Béjaïa, nous l’avons accosté pour un entretien express.
La Dépêche de Kabylie : C’est quoi cette société de chimie ?
Abdou Boucekkine : C’est une association qui regroupe tous les universitaires et chercheurs du même domaine qui se rencontrent périodiquement pour s’informer mutuellement des résultats enregistrés en la matière.
Elle se veut aussi un organe de revendications notamment pour les subventions liées à la recherche ?
Absolument pas. Nous sommes un espace exclusivement scientifique où se rencontrent des universitaires et chercheurs pour s’échanger des informations purement scientifiques et relatives à l’avancée constatée çà et là. Nous n’avons aucune vocation syndicale ou autre.
Donc la SAC est bénéfique quelque part ?
Heureusement que nous avons créé cette société qui nous permet de nous rencontrer et de nous échanger des idées lesquelles nous permettent d’avancer. Voyez vous-même le nombre de scientifiques venus aujourd’hui d’un peu partout.
Ce 8e congrès a été bien organisé ?
Parfaitement et d’ailleurs les thèmes retenus sont d’un haut niveau. Le respect du timing compte énormément dans sa réussite et apparemment ça sera le cas au vu de cette première journée. Je tiens à féliciter l’ensemble des membres de la commission d’organisation qui ont veillé au grain.
Entretien réalisé par A. Gana
