Au centre-ville de Drâa El Mizan, le bitumage de toutes les artères est conditionné par les travaux d’aménagement urbain qui traînent encore, si bien qu’aujourd’hui, leur état est lamentable à certains endroits.
N’étaient ces rapiéçages engagés dernièrement par la subdivision des travaux publics, il serait toujours impossible d’éviter tous les nids-de-poule qui s’étaient formés après l’hiver. Par contre, pour réconforter certains endroits menacés, les élus locaux ont inscrit deux opérations.
La première au niveau du lycée Ali-Mellah et le site de la bibliothèque communale et la deuxième à Sanana, un village situé à dix kilomètres de la ville. Pour ces deux opérations, le maire de cette municipalité nous a appris qu’elles sont confiées à deux entreprises. Pour le réconfortement à proximité du lycée Ali-Mellah, il s’agit d’une urgence, car il n’y a pas de trottoir du bas-côté à telle enseigne que les collégiens et les lycéens empruntent carrément la chaussée.
Et par ricochet, les écoliers sont en danger. Ces réconfortements sont venus à point nommé protéger ces axes routiers de glissement.
Dans le même contexte, il faudra souligner que de grands travaux ont été engagés pour éviter le glissement continuel du terrain à la sortie de la ville sur la route de Boghni où une habitation s’est retrouvée en danger suite à un affaissement d’un pan de la RN 25. Abordant le revêtement des pistes inscrites dans le cadre des PCD, le premier magistrat de la commune, nous a appris, que toutes les inscriptions ont été réalisées.
Finalement, il faut dire que l’état des routes commence à être amélioré. Il faudrait peut-être relever que le bitumage de la RN 25 sur la partie de la commune de Draâ El Mizan n’a pas été entier quant on voit ce grand tronçon entre le Monument et Maâmar dans un état qui laisse à désirer. Pour le revêtement en BB de cette route nationale, seuls à dix-sept kilomètres étaient réalisés. Et pour le reste ? se demandent les automobilistes.
Amar Ouramdane