“La fête des Kabytchous” Nadia Mohia nous invite dans l’intimité de Abdellah Mohia

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« La guerre des Kabycthous », de Nadia Mohia est l’une des dernières parutions aux Editions Achab de Tizi-ouzou. L’œuvre, lit-on en quatrième de couverture, « éclaire certains aspects de l’homme (Abdellah Mohia) et de son génie créateur, rend compte de son drame intime en ses dimensions les plus significatives : une personnalité, une famille, une socité, une culture, une expatriation, enfin, plus proche d’une fuite illusoire que d’une réelle libération… » A souligner que la publication est préfacée par Mahmoud Sami-Ali et est postfacée par Khalida Toumi. L’auteure : « Après une thèse de doctorat en psychopathologie et en psychanalyse soutenue à l’université Paris-VII, Nadia Mohia s’est orientée vers l’ethno-anthropologie. Son expérience anthropologique est diverse : Dans sa Kabylie natale, chez les Indiens Emérillon et Wayapi (Guyane française), chez les Indiens Ojibwa de Saugeen (Ontario, Canada). Ses travaux s’inspirent donc de cette double formation, mais c’est finalement pour dépasser les cloisonnements disciplinaires en vigueur et tenter d’approcher la réalité humaine en son unité ».

« Mraw n Tmuchuha i Yides (Dix comptes pour dormir) »

Toujours aux Editions Achab de Tizi-ouzou, Akli Kebaili, l’auteur de « Imetti n bab idurar », s’intéresse aux berceaux kabyles et une literie plus importante en publiant dix comptes en ‘’tazwawit’’, un concept qu’affectionne tout particulièrement l’auteur.

Ces « Mraw n Tmuchuha n yides » (préfacé par Kamal Nait-Zerrad) sont motivés par le souci fondamental de Akli Kebail et qui est de permettre aux enfants kabyles, en cette ère d’internet et de technologie avancée, de rester en contact avec leur langue et de ne pas aller vers d’autres. Nous y reviendrons avec une fiche de lecture, après lecture de « mraw n Tmucuha i yides ».

T. O. A.

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