Incivisme à grande échelle

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En se rendant alros à Tikdja, le visiteur aura à découvrir la richesse de cet endroit et un nombre incalculable d’espèces végétales. Même la faune à l’exemple des singes s’ajoute à toute cette richesse. Néanmoins, il y a lieus de signalers que cette région touristique a connu un passage à vide qui a duré plus d’une décennie. D’abord, le complexe qui existe a été la cible de la horde terroriste en 1994 d’où sas fermetures forcée. Puis, une catastrophe écologique a failli changer radicalement le visage de ce site suite à un incendie qui a ravagé une bonne partie de ses arbres. Et durant ces deux dernières années, ce lieu a commencé a renouer progressivement avec l’ambiance d’antan et de plus en plus de touristes s’y rendent quotidiennement se désaltérer et respirer l’air pur en ces plus de touristes s’y rendent quotidiennement pour se désaltérer et respirer l’air en ces temps de canicule. Hélas, tout cet aspect positif a été mal exploité par certains visiteurs censés protéger cette richesse. En effet, en empruntant le chemin de wilaya vers ce site, l’on constate tout au long du trajet des bouteilles de bières vides jetées à tout va de part et d’autre de la chaussée. Puis, au sein même de cet endroit touristique, la faune et la flore ont laissé place à ces bouteilles et autres restes d’aliments consommés. Nonobstant la mise en place par les responsables du complexe des poubelles dans plusieurs endroits, il semble que la culture de la protection de l’environnement n’est qu’unes histoire. Aucun lieu n’est protégé et les détritus jonchent tous les coins et recoins jusqu’à attiendre les sources. Ces dernières justement n’ont pas échappé à ce désastre. S’approcher des ces fontaines d’où s’école une eau fraîche nécessite une patience. Non pas parce que le débit est faible mais ces «énergumènes» se permettent de laver leurs véhicules à partir de ces sources. Les indications interdisant ce genre d’actes ont été mises en place, mais personne n’en prenne acte. Enfin, si des mesures ne seront pas prises à l’encontre de ces personnes qui ne cessent d’anéantir cet exploit, cette distinction de ce parc qualifié de zone biosphére ne tardera pas à devenir zone «biobiére !»

M. Smail

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