Bien qu’ayant fait l’objet de quelques travaux de confortement, la rue Bounouar M’hana, reliant la place de Aïn El Hammam au « carrefour des horloges », demeure difficilement praticable aux automobilistes comme aux piétons, d’ailleurs.
Des eaux usées venant de la rue de la Révolution et de la rue d’Aït Yahia, s’accumulent dans une sorte de creux où elle forme une marre de plus en plus large.
Les citoyens de passage ne peuvent accéder à l’autre côté qu’au prix de plusieurs exercices pour éviter de barboter dans cette eau nauséabonde.
N’ayant pas subi de réparations, après la réalisation du mur de soutènement, la rue se trouve déformée par une dénivellation de plus d’un mètre de hauteur.
Un monticule inaccessible aux piétons comme aux voitures.
La chaussée est, de ce fait, rétrécie sur plus de la moitié la transformant en une route à une seule voie. Servant de liaison entre deux rues à forte densité de la circulation, particulièrement les jours de marché cette voie devient alors un bouchon que seule l’arrivée des agents de l’ordre arrive à démêler tant bien que mal.
Le bitumage de la rue Bounouar bien que faisant partie des projets de l’APC « à lancer durant l’été 2010 » semble relégué aux calendes grecques.
A.O.T
