Mekla : La crèche communale opérationnelle

Partager

Dans chaque niveau, des salles de classe avec des tables spéciales pour le premier âge, une salle aménagée pour la sieste avec des lits bien douillets et des sanitaires aux deux niveaux, évitant aux enfants d’avoir à monter ou descendre trop fréquemment les escaliers.

Depuis le 12 septembre dernier, la crèche communale a ouvert ses portes.

La bâtisse à deux niveaux, brillant par sa peinture toute neuve, s’élève entre les immeubles de la CJB, à quelques de mètres du siège de la Sûreté Urbaine.

La cour grouille encore d’ouvriers actifs à « planter » la clôture et les détritus continuent encore à occuper les lieux prévus pour les loisirs des enfants.

La directrice, Mme Lynda Idir, toute bardée de diplômes acquis après de nombreuses formations et stages, s’est proposée d’accueillir, dans un cadre agréable, les enfants de la région. Dans chaque niveau, des salles de classe avec des tables spéciales pour le premier âge, une salle aménagée pour la sieste avec des lits bien douillets et des sanitaires aux deux niveaux, évitant aux enfants d’avoir à monter ou descendre trop fréquemment les escaliers.

Dans la cour, il est déjà prévu un toboggan et une balançoire. Les enfants pourront s’y amuser en contemplant les montagnes d’Aït Djenad qui leur font face de l’autre côté de l’Oued Sebaou. Quant à l’infirmerie, ses armoires sont déjà approvisionnées en médicaments de premières urgences.

Cette crèche communale, mise en location, permettra de créer une quinzaine d’emplois et aussi aux résidents des différentes cités de Mekla de se libérer des contraintes familiales durant leur activité.

Son ouverture, en quelque sorte dans la précipitation, puisque divers travaux ne sont toujours pas achevés, a été voulue par la direction de cet établissement pour répondre aux besoins pressants de beaucoup de parents ne pouvant s’occuper de leur progéniture pour raison d’activité professionnelle.

D’autres crèches, activant depuis un certain temps, existent à l’échelle de la commune, créées et gérées par des particuliers et dotées de l’agrément adéquat.

Mais elles sont situées trop loin des cités résidentielles, elles demeurent hors de portée des citoyens non véhiculés.

Sofiane Macherri

Partager