La plupart des chemins communaux de Kherrata sont dans un état dégradé. Les habitants des localités de Djermouna, Beni Méraï et Tabia, sont les premiers à payer les frais de cette dégradation. Cependant, et malgré les efforts déployés par l’Etat, pour le désenclavement de ces contrées, l’entretien de ces chemins fait défaut et les quelques agents affectés par la commune dans le cadre du filet social ou l’emploi de jeunes et loin de replâtrer les locus constatés. En hiver, des nids de poules et des crevasses sont visibles dans plusieurs endroits et ce sont malheureusement les quelques fourgons qui desservent la région qui en subissent les conséquences. Alors, il est urgent que des mesures soient prises à l’avenir par les autorités compétentes, en vue d’accorder une priorité à ces chemins et dégager, de ce fait, des enveloppes conséquentes dans les prochains programmes de développement.
S. Cherif