D’innombrables fuites d’eau enregistrées

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Nous assistons ces derniers temps à une déplorable situation qui ne peut nous laisser indifférents, car il s’agit de fuites d’eau repérées à divers endroits des rues de la ville et qui attendent d’être rétablies.

En parcourant la rue Colonel Amirouche, les passants vont remarquer, à l’entrée du square El Haoues, une grande dispersion d’eau qui subsiste à ce niveau depuis des jours. Un peu plus haut, au niveau de la rue Larbes Ali, appelée communément, Château d’eau, est répertorié une autre casse laissée à l’abandon. Plus bas encore, à l’extrémité de l’intersection en T qui débouche vers la CRMA et le lycée mixte, c’est une autre casse qui s’est manifestée en plein milieu de la route, laissant des flaques d’eau se constituer dans les crevasses. Au fil des jours, l’eau stagnée devient fétide. A l’intérieur du quartier de la CADAT B, en face du lot 7, se trouve une autre fuite. Nécessairement, cette dernière fut réparée il y a quelque mois de cela, après son signalement. Malheureusement, le travail de restauration n’a pas tenu, et l’eau a fini par ressortir encore de sous terre pour se répandre sur la chaussée qui devient, ainsi, impraticable à force d’être inondée d’eau et de boue. Pourtant, à la venue d’une équipe qui a réparé cette faille il y a cinq ou six mois de cela, un agent a rassuré les habitants sur la fiabilité du travail de réparation. Mais à leur grande déception, quelques jours plus tard, l’interruption ressurgit et l’eau se déverser encore. Une autre casse est localisée au niveau du lotissement Hocini, cette fois ci, et elle remonte à loin selon ses habitants. Nous ignorons encore la cause de ces fuites et casses. Elles sont peut-être dues à l’usure des conduites. Pour le moment, l’urgence est de réparer ces casses et fuites, car il s’agit de l’eau qui se renverse à perte. Et même si cela nécessite de faire payer les abonnés, du moins si la casse ou la fuite se trouve dans le périmètre des habitations, autrement, toute défaillance sur la voie publique relève du ressort des institutions concernées qui sont tenues d’assumer les réparations.

Fahem H.

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