Cinq morts depuis le début de l’année

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Les citoyens de la ville d’Ain Bessem qui est située à 25 km à l’ouest du chef-lieu de wilaya, Bouira, vient de vivre un moment tragique et affligeant pendant le week-end qui s’est écoulé avec l’annonce de la mort de deux jeunes frères par asphyxie au gaz naturel.

Les causes sont imputées au chauffage à gaz qui dégageait des relents de monoxyde de carbone qui ont été inhalés par les deux adolescents pendant qu’ils dormaient d’un profond sommeil.

Ainsi, le nombre de décès par asphyxie s’élève à 5 depuis le début de l’année, où il nous a été signalé la mort d’un vieux couple dans la localité d’El Esnam, il y a un mois de cela, dans les mêmes circonstances. Quelques jours auparavant, c’était une jeune femme qui a péri par inhalation au gaz naturel dans la ville d’Ain Bessem. Voilà que le week-end dernier, deux autres victimes innocentes ont rendu l’âme des causes des dangers qui ont découlé de la déperdition du monoxyde de carbone.

Il y a eu également plusieurs personnes qui ont été secourues, depuis le début de l’année, et toutes furent sauvées promptement, grâce à la vigilance des services de secours, qui sont la Protection civile. Les dernières personnes à être sauvées, il y a quelques jours de cela, furent 5 membres issus d’une même famille qui ont été victimes d’asphyxie au gaz naturel.

Les victimes ont été aussitôt transportées vers le service des urgences du centre hospitalier de la ville de Sour El Ghozlane, où elles ont reçu les soins appropriés, pour regagner leurs demeures saines et sauves. C’était le même cas pour d’autres citoyens, une dizaine environ qui furent sauvées dans la localité d’Aomar, le mois de janvier dernier.

Des campagnes de sensibilisation contre les dangers du gaz naturel ont été initiées par exemple par les services de la Sonelgaz, de la Protection civile, en y associant le milieu scolaire pour faire répandre le maximum de conseils et de précautions à prendre afin que de tels drames ne se reproduisent plus. Malheureusement, ces incidents se produisent encore.

Fahem.H

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