Le logement social locatif (LSL) est, semble-t-il, le programme qui donne le plus de satisfaction à Aomar, des projets sont achevés et d’autres en voie de l’être. Ce programme dont le maître de l’ouvrage est l’OPGI, est beaucoup plus allége sur le plan administratif, on n’y retrouve pas, comme ailleurs, les structures étatiques impliquées dans la réalisation des projets, telles l’agence foncière, la CNL et la banque. Beaucoup ont fleuri comme des champignons, en l’espace d’un temps acceptable, à l’image des 80 unités achevées sur la route reliant Aomar à Tizi Larbâa auxquelles le délai de réalisation imparti était le 12 mars. A peine ces 80 logements terminés, l’Office à lancé en début d’année 2011, un chantier de 27+23 à l’extrémité ouest du lotissement Aomar, lequel est au stade des fondations. Après le retard accusé sur les sites accueillant les projets LSP, on a fait appel à l’OPGI pour revenir à la rescousse sur les différents chantiers en souffrance. A l’exemple de la partie des 130 logements lancés en 2001 au marché hebdomadaire mais qu’on arrive pas à concrétiser 10 ans plus tard et où l’OPGI intervient, maintenant, pour exécuter 3 blocs de 10 logements chacun. Ces lenteurs dans l’exécution du LSP ne sont pas au goût des souscripteurs, ceux ci tout citent le projet des 20 logements LSP OPGI, ayant démarré en même temps que les 150 logements LSP, mais quia été livré aux bénéficiaires en 2009. Ce même office, selon une source, interviendra dans les jours qui viennent sur le site Kallous, lancé en 2000 pour recevoir 163 logements LSP, mais où seuls 73 sont achevés. Le programme LSL émerge, en quelques temps seulement, et Aomar se voit bénéficiaire de 140 unités dans le chef-lieu de la commune et de 90 à Kallous, soit en total, pour l’instant, de 230 logements.
A. Chérif