Des projets prometteurs

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L’APC d’Aomar a bénéficié d’importants projets dans le cadre de la culture, de la jeunesse et de l’AEP. En effet, un projet de construction d’une bibliothèque communale vient s’ajouter à celui d’un centre culturel. Le choix du terrain pour implanter ce nouvel édifice est fait. Elle sera bâtie dans une “poche” de terrain vague situé dans la cité Saâdi-Moussa. La bibliothèque communale occupera désormais tout le terrain. Elle sera d’un apport bénéfique aux amoureux de la lecture, de la documentation et du savoir ainsi qu’un support pour cette génération qui désirerait préparer son examen.L’expérience était déjà faite au moment où le centre culturel jouait maintenant son rôle. Signalons que le centre culturel possédait une bibliothèque très riche. Différentes œuvres de culture générale, documentaires, scientifiques etc… étaient mises à la disposition des citoyens mais aujourd’hui tous ces livres ont disparu des étagères. Pour le volet des infrastructures sportives, une aire de jeux de proximité sera réalisée sur un terrain vague se situant dans la cité Bouri-Kaci. Les jeunes de ce quartier auront leur propre terrain combiné comme leurs confrères de la cité Saâdi-Moussa. Selon une source, un budget supplémentaire d’une enveloppe de 400 millions est allouée aux travaux de réfection et d’aménagement du stade communal. Rappelons que ces travaux durent depuis près de trois ans et que l’équipe locale reçoit à l’extérieur. La localité de Krarib souffre du problème de l’eau potable. Pour acquérir cette denrée vitale, les citoyens se déplacent sur plusieurs centaines de mètres. Une source dont la quantité d’eau débitée est insuffisante surtout durant la saison estivale est le seul réseau d’alimentation en eau potable pour les hameaux de Krarib. C’est l’un des problèmes épineux de la localité.Pour y remédier, l’agglomération de Krarib bénéficie à son tour d’un projet d’envergure. Un projet AEP d’une somme de 9 milliards sera lancé. La réalisation dépend des soumissionnaires. Le coût du projet estimé par ces derniers dépasse la somme allouée (9 milliards). Rappelons qu’un projet similaire a été réalisé dans les années 1980, toutefois, l’eau n’a jamais circulé ou coulé dans les canalisations installées et qui ne fonctionnent pas à ce jour. Toute la tuyauterie est rongée par la rouille. Selon notre source, d’autres projets sont inscrits telle que la construction d’un CEM, d’une école primaire et d’une mosquée. A tout cela, il reste la réalisation.

A. Bouzaïdi

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