Les soirées ramadhanesques reprennent de plus belle à Barbacha, avec un programme qui a débuté un peu tardivement, en collaboration avec le théâtre régionale de Béjaïa et l’APC.
Ce soir, la chanson cède sa place au 4e art, le théâtre, par la présentation d’un monologue du dramaturge algérien, et pas des moindres, Slimane Benaissa. Cela été annoncé par le P/APC de Barbacha, lui-même, devant le public lors de la première soirée de ce programme spécial Ramadhan. L’auteur de ‘’Babor ghraq’’ n’est pas à présenter au public Barbachois qui viendra certainement en grande masse, espérant que l’on ait déjà pensé à améliorer la qualité de la sonorisation et assurer, surtout, une organisation autour de la scène, à la hauteur de l’événement. Les soirées ramadhanesques reprennent de plus belle à Barbacha, avec un programme qui a débuté un peu tardivement, en collaboration avec le théâtre régionale de Béjaïa et l’APC.
A l’entame de ce menu artistique nocturne à Barbacha, le chanteur Brahim Tayeb avait ouvert le bal à la placette du chef-lieu, noire du monde en cette soirée de dimanche dernier. Ils sont venus de plusieurs localités de la région déguster de cette musique douce de l’auteur d’« Ussan ni » qui n’a pas déçu ce grand public malgré la médiocrité de la sonorisation. Il a pu masquer ce bémol par un jeu de luth qui a subjugué plus d’un.Dans la soirée d’hier, vendredi, c’est le groupe de la chanson engagée, Debza, qui a fait vibrer cette placette durant toute la soirée.
Nadir Touati

