Cap sur la réfection du réseau routier

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Des travaux d’aménagement de l’entrée Sud de la ville de Béjaïa ont été entamés ces derniers jours par les autorités locales. Ainsi, les travaux de la réfection de la route menant à Béjaïa chef-lieu, plus précisément à Bir Slam, ont été achevés mercredi dernier.

«D’autres aménagements de ce site sont programmés pour donner un autre visage à l’entrée sud de la ville», indique la cellule de communication de l’APC.

Selon le vice-président chargé a l’aménagement du territoire, Abdelhamid Achour, «des travaux de revêtement de la RN 24 à Tala Ouriane ont été effectués dans la perspective du lancement de l’étude de modernisation de l’axe Aâmriw-Iaâzouyen pour moderniser l’entrée ouest de la ville de Bejaia.»

Par ailleurs, d’autres projets d’aménagement et de revêtement de plusieurs voies ont été réalisés ou en cours de réalisation. L’on cite, entre autres, la voie impasse Dar Nacer, deux impasses Iheddaden Ouffela, la route de la cité Oudali, la voie de la cité Moula. D’autres routes, assure-t-on, sont programmées à partir de la semaine prochaine, dont celle liant les cités des 1000, 300 et 600 logements à Iheddaden, l’axe Boulevard des Aurès (Daouadji-Carrefour des 600 logts), le Rond-point Daouadji – Cristal 2, le Boulevard Amirouche jusqu’au Boulevard Bouaouina, la route de la cité Adrar, Rond-point 1000 logements vers pont Takhribt, la route du village Amtik, Bd krim Belkacem vers Edimco, Quartier Sghir, Rue Harfi Taos (palais de justice) vers Bd des Aurès, impasse Tizi, diverses impasses du village Dar-Djebel.

Malgré ce programme ambitieux, il reste que plusieurs autres routes sont dans un état lamentable, et ce dans plusieurs quartiers de la commune de Bejaia. «La route de Tala Markha est une urgence. Elle mène à Oussama et fait jonction avec la RN24 et les plages de la côte Ouest; elle peut rendre pas mal de services. Il y a aussi la 17/2 cité Zaouche et celle longeant la clinique d’accouchement et les quartiers avoisinants», se désole un habitant de Tala Markha, qui espère que les autorités locales redoublent d’efforts pour la réfection de plusieurs autres routes qui se trouvent depuis des années dans un état catastrophique.

«Les responsables de l’APC interviennent là où il y a de la pression sinon comment expliquer que la cité 612 logements blocs D6 et D5 à Sidi-Ahmed ne figure dans aucun programme, et ce depuis 2007. Que de promesses», s’insurge un résident du quartier Sidi Ahmed.

F. A. B.

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