La célébration des deux Printemps, amazigh et 2001, ne semble pas attirer les foules d’antan. Non pas que la Kabylie ait perdu ses repères et ses ressorts, mais elle vit une mutation profonde depuis quelques années. Une situation qui interpelle les élites et les énergies saines afin de procéder à un diagnostic objectif et une halte-bilan salvatrice.