L’environnement, une idée qui en appelle d’autres

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L’environnement est à protéger comme la prunelle de ses yeux, c’est à défendre, contre vents et marées, quoiqu’il arrive, mais à soutenir comme une croyance fantasque, baroque et excentrique. Elle reste essentielle dans notre vécu pour la préservation de la nature et de ce qui l’accompagne concrètement dans ce qui la fait et la compose. Aujourd’hui, on en parle sans comprendre ce qui nous dérange et ce qui nous met dans les draps sales de l’existence et partant nous empoisonne la vie par ses émanations répugnantes.

Que l’on soit au-delà de tout à supporter le mal que l’on fait au pourtour de son étoile, sans se rendre compte de tout le mal qu’on lui cause par insouciance ou par négligence. L’environnement c’est en ce qui concerne l’être et le néant, tout ce qui entoure le destin et le détermine. Quoiqu’il en soit, la mer, la terre, le ciel et tout ce qui embaume l’univers est sur le plan environnemental, un tant soit peu, illusoire si tant est que sa protection revient à faire l’effort dû à son respect, à l’égard de ce qu’elle représente, de ce qu’elle signifie en clair aux yeux du commun des mortels.

Pour citer Jonathan Longtin, «la vie nous dépasse, elle nous contrôle pour coexister en harmonie avec un tout. La vie c’est nous tous, plongés dans une surcharge d’effets qui n’arrêtent jamais d’être réel». Ce qui amène l’existence à nous plonger dans l’opprobre sans qu’on le sache et à partir de là nous mener à nous poser des questions qui demeureront sans réponses.

L’environnement, nous devons le préserver quoi qu’il advienne pour nous et pour les éléments. L’environnement est d’abord une issue politique, sociale et tient beaucoup de l’économique et dans tout ça, il revient à dire que l’écologie tient bien plus d’une idée qu’elle soit chiche ou sérieuse, mais d’une pensée politique la plus radicale, la plus stricte. Elle doit guider nos prospectives, nos programmes les plus élaborés. C’est la plus parfaite des notions d’aujourd’hui, quoiqu’on dise, parce que la protection de la nature tient lieu de tout un magma de réflexions qu’on doit, contre tout les possibles, protéger.

S. A. H.

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