Auparavant, des examens comme le BEF ou le BAC n’ont à aucun moment donné suscité un réel intérêt de la part de la population, exception faite des périodes des délibérations qui ne passaient jamais inaperçues, et ce, vu le climat de fête, parfois de deuil régnant. Si c’est un bonheur pour les uns c’est sans aucun doute un malheur pour d’autres.De nos jours, bien au contraire, ces épreuves sont au centre de toutes les discussions au sein de la famille, dans la rue. Tout le monde en parle et dans les moindres détails.En effet, cela est peut être un bon signe car il est certainement la conséquence de l’évolution des mentalités dans notre pays, spécialement chez les parents et parmi l’entourage des candidats aux différents examens de fin d’année. Ceci d’une part, d’autre part vu les nouveaux dispositifs (moyens humains, matériels), mis en place pour le bon déroulement et la réussite de tels rendez-vous.Cependant, du côté des candidats c’est plutôt une pression supplémentaire qui vient s’ajouter à tous les stress déjà accumulés. Et si les uns arrivent à gérer merveilleusement et la peur et la pression chez eux ou dans la rue, d’autres se sentent mal à l’aise et fragilisés. Alors ces candidats ont plus que jamais besoin de réconfort et de soutien moral.
Djamel M.