Manque de commodités à la station des fourgons

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L’arrêt des fourgons qui desservent les différentes localités de la commune de Saharidj ne cesse de se dégrader au grand dam des usagers. En effet, cet arrêt, sis dans la ville de M’Chedallah lequel est «enserré» entre le musée communal et la subdivision des travaux publics (STP), n’offre guère les commodités nécessaires pour les voyageurs qui transitent quotidiennement par centaines via cet endroit. Les insuffisances sont flagrantes, comme c’est le cas pour les bancs et les abribus.

À la chute de la pluie, les voyageurs ne trouvent pas où s’abriter si ce n’est les arcades des commerces avoisinants. Même cas lorsqu’il fait chaud, où les rayons du soleil «lardent» les usagers ne trouvant pas la moindre once d’ombre. Idem pour les autres commodités, comme les vespasiennes, un point d’eau, l’éclairage public, les trottoirs…, qui brillent par leur absence dans cet arrêt. S’agissant de l’aire de stationnement, celle-ci se trouve dans un état peu enviable avec un sol «nu» plein de cailloux et d’aspérités.

Cabossé et non aménagé, le terrain sur lequel est aménagé cet arrêt ne facilite guère le stationnement, encore moins les déplacements que ce soit des usagers ou des véhicules des transporteurs. «L’arrêt de fourgons desservant Saharidj est vraiment dans un piteux état. Les manques sont nombreux et cela n’offre guère les conditions idoines aux usagers pour un meilleur confort. Nous ne demandons pas la lune, mais juste son aménagement et surtout la réhabilitation du terrain impraticable.

À la tombée de la pluie, il devient boueux et plein de mares d’eau. La circulation devient alors exécrable dans ces lieux, où les pneus des fourgons s’engluent dans la fange en glissant dangereusement. Le terrain est également en légère déclivité. Cet arrêt a besoin de réhabilitation pour le bien des usagers et des transporteurs», dira l’un des transporteurs.

Y. S.

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