Avec l’augmentation sensible des températures et à l’approche de l’été, les bestioles nuisibles refont surface en gênant considérablement les ménages. En effet, les moustiques et les mouches ont refait leur apparition, ces derniers temps, avec la hausse des températures. Cela agace, bien évidemment, les ménages qui cherchent par tous les moyens à les « exterminer » mais sans y arriver.
Et pour lutter contre ces « invités » indésirables, ces derniers se rabattent sur les drogueries et autres points de vente des insecticides en achetant tout un « arsenal » afin de mettre hors d’état de nuire, au moins le temps d’une nuit, ces insectes nuisibles. Dans les localités de la vallée du Sahel, pour l’illustration, il a été constaté un rush particulier des habitants sur les points de vente des insecticides au niveau du marché hebdomadaire de M’chedallah notamment, où plusieurs étals étaient garnis de produits luttant contre les insectes volants et rampants, moustiques et mouches, lesquels mènent la vie dure aux habitants en les dérangeant surtout durant leur sommeil.
Ainsi donc, des insecticides en pastille, en poudre, en aérosol, des pièges à mouches adhésifs, des diffuseurs électriques et bien d’autres insecticides sont proposés à la vente. Les clients se trouvent, à chaque fois, devant des choix difficiles, car d’une part, ils désirent des « armes » efficaces contre les bestioles et d’autre part, ils sont confrontés à leur cherté. Chaque année, les insecticides connaissent une hausse sensible de leurs tarifs, ce qui fait que les ménages ont du mal à se les permettre.
Et puis, à la fin du compte, les ménages qui achètent régulièrement ces produits voient leurs revenus lourdement grevés pour « acheter » la paix à ces insectes. « Je dépense beaucoup d’argent pour acquérir les anti-moustiques et autres insecticides qui luttent aussi contre les fourmis, les cafards et les mouches. Vous imaginez, je dépense le long de l’été des sommes assez grandes pour passer des nuits tranquilles en pulvérisant les moustiques dans chaque pièce de la maison. » témoigne un père de famille habitant Chorfa.
Y. S.