«On retrouvera la Régionale 2»

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Le président de l’OS Moulediouane, Walid Kasdi, s’est dit très déçu de la relégation de son équipe en division honneur de Tizi Ouzou, mais il promet de la faire remonter dès la prochaine saison.

La Dépêche de Kabylie: l’OSM est relégué en division honneur de Tizi-Ouzou. Un commentaire ?

Walid Kasdi : je suis un homme déçu et affecté après cette relégation, mais bon, le football est ainsi fait. Il y a des hauts et des bas et il faut continuer à travailler et à corriger les erreurs pour rebondir. C’est la vie d’un club et l’OSM restera toujours debout.

Quelles sont les raisons de ce parcours catastrophique ?

Il y a beaucoup de facteurs qui ont influé sur notre parcours. Les changements au niveau de la barre technique, le retrait de certains joueurs au milieu de la saison et le manque de moyens financiers, sont les raisons de cet échec. Mais comme je vous ai dit, on a bien retenu la leçon et on saura bien préparer l’avenir.

Et qu’en est-il de la barre technique ?

Pour le moment, je suis en contact avec deux entraîneurs, mais je peux vous dire qu’à 90%, j’ai conclu avec quelqu’un qui connaît bien la maison. Je préfère ne rien avancer avant la finalisation avec lui dans les prochains jours. Et pour ce qui est de la préparation d’intersaison et des objectifs pour la saison prochaine ? Tout est ficelé pour le programme de préparation et on effectuera un stage de dix jours le mois d’août prochain à Zemmouri, Boumerdès. L’accession reste notre seul et unique objectif la saison prochaine. Plusieurs sponsors vont venir en aide au club et j’ai même conclu avec un entrepreneur qui sera le président de section football.

Vous paraissez optimiste ?

De nature, je suis optimiste et je sais ce que je dis. L’OS Moulediouane aura fière allure la saison prochaine et représentera comme il se doit la localité de Draâ Ben Khedda et le club retrouvera la Régionale 2. Tous les moyens seront réunis pour réaliser cet objectif, car je n’ai pas encore digéré cette relégation. Ce n’est que partie remise.

Entretien réalisé par Massi Boufatis

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