L’association « Bénévolat Imghane Tizamourine » d’Akfadou a lancé, depuis le 1er août dernier, une ambitieuse opération de développement économique qui consiste, en partenariat avec des Français notamment, à trouver les voies et moyens de créer son propre emploi et sa propre entreprise pour générer des emplois et des richesses.
Il s’agit, selon les promoteurs de la démarche, de trouver dans divers domaines d’activité, toujours avec les partenaires de l’autre rive de la Méditerranée, des créneaux inexplorés jusque-là dans les filières de l’industrie, de l’agriculture, de la culture ou des services et surtout dans le domaine de l’environnement, où il y a fort à faire pour y créer de l’activité économique, de l’emploi et des richesses pour le pays.
Cette opération, qui s’étale du 1er août 2015 au 30 mai 2016 sous le thème « Entreprenariat social et citoyen franco-algérien », a pour but essentiel, avancent ses promoteurs, de rapprocher les jeunes générations des deux pays anciennement déchirés par une histoire douloureuse et surtout de lutter contre le chômage qui frappe de plein fouet la jeunesse des deux pays.
Les initiateurs de ce projet souhaitent, par le biais de cette démarche, innover en matière de modèle économique, d’autant plus que le modèle abordé a prouvé, notent-ils, son efficacité et sa compatibilité avec les valeurs morales des deux sociétés.
Dans la fiche de présentation du projet, les précurseurs mentionnent que celui-ci est le fruit de trois années de collaboration ponctuelle entre l’association « Projets pour l’emploi » (la Courneuve, Ile de France) et l’association « Bénévolat Imghane Tizamourine » d’Akfadou dans la wilaya de Béjaïa.
Ce projet de 10 mois permet aux deux partenaires de concrétiser leurs efforts bénévoles en mobilisant directement plus de 800 jeunes autour de la dynamique de l’entreprenariat social, vecteur de citoyenneté, d’emplois, de solidarité et de modernisme.
Six jeunes entrepreneurs sociaux vont être sélectionnés dans le cadre d’un concours organisé en partenariat avec HEC Paris. Ils se verront offrir un voyage de six jours en France pour rencontrer leurs pairs, participer à des débats citoyens et échanger des idées.
Réciproquement, six jeunes Français, notamment ceux d’origine algérienne, viendront en Algérie soutenir et encourager l’esprit d’initiatives sociale et solidaire au cœur d’une manifestation interculturelle rassemblant plus de 800 personnes.
Ce projet est très bien soutenu localement, car plusieurs députés seront mobilisés et il se conduira en partenariat avec les parties prenantes concernées, notamment les antennes d’Alger et de Béjaïa de l’ADS (Agence de développement social).
Cette opération, qui s’étale du 1er août 2015 au 30 mai 2016 sous le thème « Entreprenariat social et citoyen franco-algérien », a pour but essentiel, avancent ses promoteurs, de rapprocher les jeunes générations des deux pays anciennement déchirés par une histoire douloureuse et surtout de lutter contre le chômage qui frappe de plein fouet la jeunesse des deux pays.
Les initiateurs de ce projet souhaitent, par le biais de cette démarche, innover en matière de modèle économique, d’autant plus que le modèle abordé a prouvé, notent-ils, son efficacité et sa compatibilité avec les valeurs morales des deux sociétés.
Dans la fiche de présentation du projet, les précurseurs mentionnent que celui-ci est le fruit de trois années de collaboration ponctuelle entre l’association « Projets pour l’emploi » (la Courneuve, Ile de France) et l’association « Bénévolat Imghane Tizamourine » d’Akfadou dans la wilaya de Béjaïa.
B. Mouhoub