Lors d’une rencontre avec quelques intellectuels et amis, dont Hacène Hireche, qui est d’ailleurs le grand absent de cet événement à cause d’un souci de santé, étant aussi lecteur de Bourdieu, à l’hémicycle Aïssat Rabah, un espace de rencontres scientifique culturelle et associatif, c’est dans ce sens que l’idée d’organiser un colloque sur Bourdieu est lancée. Des rencontres ont eu lieu entre Achir Mohamed, président de la commission finances de l’APW, Mohand Akli, universitaire, Hacène Hireche, Sabrina Azzi, doctorante, et l’association Le défi, le projet est retenu, les conférenciers sont invités et la date est fixée. L’APW, dont j’étais le président, a voté une subvention conséquente pour cet événement. Aujourd’hui, le colloque se tient, objectif donc atteint. Même si je ne suis plus responsable de cette institution, je me sens lier par l’engagement et le souci de la réussite partagée par les camarades élus et le panel des organisateurs. C’est avec plaisir que nous avons participé à l’ouverture de l’événement».
Propos recueillis par H. T.

