Chant fusionné d’influences sahariennes

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l Cinq troupes interprètes de musique gnawi et un musicien du genre traditionnel métissé entre compositions algéroise et saharienne se produiront les 21, 22 et 23 du mois en cours à la salle Ibn Khaldoun. « Zahrat E rimal » de Bechar, « Djmawi Africa », « Gnawa Sidi Blal » de Aïn Essefra, « Noujoum Essaoura » et « El Ferda » de Bechar ainsi que l’instrumentaliste et talentueux artiste Mohamed Reouan de l’ex-Mediterranéo ont donné, hier, une conférence de presse, à Alger, organisée par l’Etablissement Arts et Culture pour parler de leur itinéraire et présenter leur produit. Ces trois soirées qui seront dédiées au gnawa, estiment les invités d’Arts et Culture, permettront à ces groupes de connaître pour chacun d’eux de nouvelles formations, même s’ils ont la même base, pour composer ce genre musical. Mohamed Reouan, cet artiste connu beaucoup plus, par son interprétation de la musique algéroise, inspirée des « quâadatte » de La Casbah d’Alger, nous dira qu’il est sur un projet de duo avec Aicha Labgâa, une remarquable chanteuse targuia. Les conférenciers nous diront qu’ils ont opté pour un genre musical précis et commun mais ils se disent prêts à assembler d’autres notes des différents genres musicaux, puisés du terroir.

F. B.

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